L’Aube Et La Nuit

Bataville (57), 2018. Marie-Thérèse cherche la maison dans laquelle elle a passé ses étés étant adolescente. Elle se souvient de ses jeux avec son amie Martine. Elle se souvient de sa famille d’accueil, des étés chauds, des briques rouges de la cité ouvrière. Les briques rouges, c’était plutôt les maisons d’ouvriers. Les maisons blanches appartenaient aux contremaîtres et aux supérieurs hiérarchiques. Dans les méandres de ses souvenirs plus ou moins précis, son esprit vagabonde entre passé et présent. Comme dans un rêve éveillé, lorsque le sommeil n’est pas encore tout à fait là, où déjà un peu parti…